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Vidéoverbaliser ou faire de l'argent ?

  • Photo du rédacteur: Annie Clement
    Annie Clement
  • 30 août 2019
  • 1 min de lecture


La vidéosurveillance est l’un des moyens de prévention contre la délinquance et je me réjouis qu’Éric Berlivet est enfin acté l’une de ses promesses de campagne. Mais encore une fois l’utilisation masque la réelle intention qui est de faire de l’argent avec la

vidéoverbalisation.


On a assisté à une recrudescence de cambriolages cet été dans la commune, malgré la vidéosurveillance. La preuve en est que celle-ci n’a pas tous les effets dissuasifs si elle n’est pas adossée à de la présence humaine.


En effet, un seul équipage de police municipale est tout à fait insuffisant et chacun sait que sans un système de supervision 24h/24h, et des moyens d’intervention rapide sur la voie publique, les caméras ne servent à rien.

L’idée est bonne mais les rouchons voient bien que cela ne va pas dans le bon sens.

Ces 32 caméras installées sur des voies routières et pas assez sur les zones à risque comme à Beaulieu ou la Chataigneraie servent plus à vidéoverbaliser les automobilistes qu’à protéger les habitants des incivilités






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